Tu étais déjà le Tout, mais parce que quelque chose s'est ajouté à toi en plus du Tout, tu es devenu moindre que le Tout par cette addition même. Dans Ennéades- Exercices spirituels et philosophie antique.
Publié le 28 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Et si c'était simple
Tu étais déjà le Tout, mais parce que quelque chose s'est ajouté à toi en plus du Tout, tu es devenu moindre que le Tout par cette addition même. Dans Ennéades- Exercices spirituels et philosophie antique.
Publié le 28 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Et si c'était simple
Il faut porter en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante. dans Ainsi parlait Zarathoustra.
Publié le 23 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans C'est quand le bonheur
Je vis dans un placard au coin de mon froid.
Publié le 23 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Oui mais quand c'est fini - c'est fini
Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cerceuil.
Publié le 12 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Unis - vert
Je veux entendre l'eau tomber sur l'eau La pluie trouant la peau de la rivière L'eau du ciel se mêlant à l'eau de la terre Pour une eau rêveuse, une eau dormante, une eau douce. Je veux l'eau sur les toits, sur les tuiles Roulant, ruisselant sur le chapeau...
Publié le 12 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Et si c'était simple
« Je me crois capable de tout supporter, de tout assumer de cette vie et de cette époque. Et si les turbulences sont trop fortes, si je ne sais plus comment m’en sortir, il me restera toujours deux mains à joindre et un genou à fléchir ». Une vie bouleversée,...
Publié le 12 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans Et si c'était simple
« Je me suis souvent sentie – et je me sens encore – comme un navire qui vient d’embarquer une précieuse cargaison ; on largue les amarres et le navire prend la mer, libre de toute entrave ; il relâche dans tous les pays et prend partout à son bord ce...
Publié le 12 Décembre 2010 par ANNE GRIMALDI dans C'est quand le bonheur
« 21 octobre, après dîner. Processus long et douloureux que cette naissance à une véritable indépendance intérieure. Certitude de plus en plus ferme de ne devoir attendre des autres ni aide, ni soutien, ni refuge, jamais. Les autres sont aussi incertains,...